« Eternel ! Tu me sondes et tu me connais,
Tu sais quand je m’assieds et quand je me lève,
Tu pénètres de loin ma pensée ;
Tu sais quand je marche et quand je me couche,
Et tu pénètres toutes mes voies,
Car la parole n’est pas sur ma langue,
Que déjà, ô Eternel ! Tu la connais entièrement.
Tu m’entoures par derrière et par devant,
Et Tu mets ta main sur moi.
Une science aussi merveilleuse est au-dessus de ma portée,
Elle est trop élevée que je puisse la saisir. »
Psaume 139 : 1-6
Ce psaume me parle particulièrement dans les moments de fatigue, de tristesse, d’intercession etc.
Mon assurance c’est que mon Papa Céleste me sonde et me connais. Son regard est constamment sur moi.
Quoique je fasse, où que j’aille… même ma pensée la plus profonde… tout est à nu devant Celui que mon cœur aime.
Je peux prier intérieurement… Il m’entend… « La parole n’est pas sur ma langue, que déjà Il la connais entièrement. »
Alors, pourquoi ne pas tout Lui dire… et Lui demander pardon quand des pensées de découragement ou autre me viennent ?
Ce psaume m’a conduite à la crainte de son Saint Nom… Il n’est pas un homme… Il est Dieu… Il voit tout… Il sait tout… Je veux Lui plaire… Faire la joie de son cœur…
Je préfère m’humilier et demander pardon aux hommes (fautive ou non)… pour ne pas L’attrister… ni attrister mon semblable…
Il est mon Dieu. Il est venu sur la terre pour me sauver de mes péchés… même si je n’avais été que la seule personne sur terre… Il serait quand même venu… Rien que pour moi… Waouuuuuuuu !! Quelle grâce ! Quel Amour !
Oui ! Je Lui dois tout… Et j’ai décidé depuis longtemps de tout Lui donner… J’aime à renouveler ce moment de cœur à cœur…. Pour Lui dire tout mon amour… Il en est digne…
Et je ne sais pas aimer… sinon Lui-même sait aimer en moi… et par moi… Je reconnais ma faiblesse… et sa Toute-Puissance.
C’est ma force pour intercéder pour les autres… Il les connaît… Il connaît leurs vies… leurs besoins… leurs attentes…
Mon repos et le tien dépend de la confiance… de l’amour… de la crainte de son Saint Nom… d’une vie qui s’abandonne et s’abandonne encore…
JE T’AIME SEIGNEUR !