NE regarde PAS TA MONTRE constamment ! MONTRE TA FOI et DIEU sera À L'HEURE pour toutes sortes de bénédictions (^_^)
PRIE ! PRIE ENCORE ! Dieu n'est jamais en retard ! DIEU a ses SAISONS et ses RAISONS mais DIEU est TOUJOURS À L'HEURE ! À la bonne heure du bonheur si on ose (^_^)
Matthieu 9:22 "Jésus se retourna, et dit, en la voyant : Prends courage, ma fille, ta foi t'a guérie. Et cette femme fut GUÉRIE À L'HEURE MÊME."
Matthieu 8:13 "Puis Jésus dit au centenier: Va, qu'il te soit fait selon ta foi. Et À L'HEURE MÊME le serviteur fut GUÉRI."
Tahina Raniraka
(avec autorisation)
"La foi est la preuve des réalités qu'on ne voit pas» (Hébreux 11 : 1).
La vraie foi jette sa lettre dans la boîte du bureau de poste, et la laisse partir. La méfiance s'accroche à un coin de la lettre et s’étonne de ce que la réponse n’arrive jamais. J'ai quelques lettres dans mon bureau qui ont été écrites il y a des semaines, mais il y avait une légère incertitude concernant l'adresse ou le contenu, de sorte qu'elles ne sont toujours pas envoyées ; elles n'ont encore, pour le moment, produit aucun bénéfice, ni à moi ni à quiconque. Elles n’accompliront jamais quoi que ce soit jusqu'à ce que je les libère de mes mains et face confiance au facteur et à la poste.
C'est le cas avec la vraie foi. Elle remet sa cause dans les mains de Dieu, puis IL travaille. C'est un beau verset du Psaume 37: "Recommande ton sort à l'Éternel, crois en Lui, et Il agira." Mais il n'agira jamais jusqu'à ce que nous nous engagions. La foi est une receveuse, ou mieux encore, une saisisseuse des cadeaux présentés par Dieu. Nous devons croire, venir, nous engager et nous reposer, mais nous n'entrerons pas pleinement dans toute notre bénédiction tant que nous ne commencerons pas à recevoir et à demeurer dans l'attitude de saisir.
Source : www.connaitrechrist.net
(avec autorisation)
« Pour ce qui me concerne, loin de moi la pensée de me glorifier d’autre chose que de la croix de notre Seigneur Jésus-Christ. » Galates 6 :14.
Quand un homme naît d’en-haut, beaucoup de choses en lui sont ébranlées. Les réalités extérieures doivent être envisagées autrement, ses sentiments doivent être transformés. Dans l’âme de l’apôtre Paul régnaient l’ordre et la stabilité. Aucun événement extérieur ne pouvait le troubler, car il était fondé et enraciné en Dieu.
Chez la plupart d’entre nous, la vie spirituelle est décousue et sans cohésion, parce que nous nous préoccupons avant tout d’avoir une vie matérielle bien réglée et bien stable.
La vie spirituelle de Paul était édifiée sur le Roc. Les critiques rationnels, eux, construisent leur vie sur les sables mouvants de la pensée matérialiste abstraite.
Entre les uns et les autres, il n’y a pas de compréhension possible. La logique de Paul était fondée sur les vérités essentielles. La base inébranlable de son équilibre spirituel était l’agonie de Dieu pour la Rédemption du monde, c’est-à-dire : la Croix de Jésus-Christ.
Passez en revue les raisons pour lesquelles vous croyez, et rejetez celles qui ne sont pas essentielles, puis revenez vous placer sur le Roc de la Croix du Christ.
Du point de vue historique, la Croix est un événement sans aucune importance. Du point de vue de la Bible, elle a plus d’importance que les plus grands empires du monde. Quand nous cessons d’insister sur la tragédie de la crucifixion du Fils de Dieu, toute notre prédication devient vaine. Elle n’apporte pas aux hommes la puissance de Dieu; elle peut être intéressante, mais elle est sans force, sans efficacité. Prêchons donc la Croix du Christ et l’énergie divine sera libérée. « Il a plu à Dieu de sauver les croyants par la folie de la prédication » et « nous prêchons Christ crucifié », dira l’apôtre Paul dans sa lettre aux Corinthiens (1 Cor 1:21 et 1 Cor 2:2).
Oswald Chambers
Ayons l'humilité d'attendre le verdict de Dieu sur l'état de notre coeur.
« Je vous donnerai du repos. » (Matthieu 11:28)
Chaque fois que quelque chose vient affaiblir votre communion avec Jésus-Christ, tournez-vous aussitôt vers lui, et demandez-lui de vous donner sa sérénité. Ne tolérez pas que quoi que ce soit en vous, trouble cette paix. Traitez tout élément de discorde qui s'insinue entre Jésus et vous, comme une chose à combattre et non à supporter. Demandez au Seigneur de mettre sa nature en vous, et votre propre nature disparaîtra, il sera tout en vous. La préoccupation de soi engendre insensiblement la pitié pour soi-même, qui vient de Satan. "On ne me comprend pas ! Sur ce point-là, on me doit des excuses ! Il faut que ce soit tiré au clair !" Laissez donc les autres tranquilles, et demandez au Seigneur de mettre en vous la nature du Christ. Il vous soutiendra, jusqu'à ce que vous soyez rempli de sa plénitude.
La vie chrétienne parfaite est celle de l'enfant. Quand je me préoccupe trop de ce qui se passe en moi, cela va mal. C'est le malade qui connaît la valeur de la santé. L'enfant de Dieu ne se préoccupe pas de savoir ce qu'est la volonté de Dieu, car il est lui-même dans la volonté de Dieu. Quand nous nous écartons si peu que ce soit de la volonté de Dieu, nous nous mettons à lui dire : "Quelle est ta volonté ?" Un enfant de Dieu ne prie pas pour que Dieu lui démontre qu'il répond à la prière ; il est sans inquiétude, sachant que Dieu répond toujours.
En essayant de combattre notre égoïsme par les méthodes dictées par le bon sens, nous le développons au contraire. Jésus dit : "Venez à moi, et je vous donnerai du repos" ; c'est-à-dire : la nature de Christ prendra la place de notre propre nature. Partout où Jésus passe, il apporte le repos ; le repos d'une activité parfaite, d'où tout amour de soi-même est absent.
Oswald Chambers
"Ils trouvèrent les choses comme Jésus leur avait dit." Luc 19:32
Trois fois dans l'Evangile selon Luc, nous trouvons cette même phrase. Lors de la naissance du Sauveur, ce que les bergers trouvèrent à Bethléhem était conforme à ce qui leur avait été annoncé. Quand Jésus envoya les disciples préparer la Pâque, ils trouvèrent les choses comme Il le leur avait dit. Dans notre texte, les disciples ont obéi à la mission que le Seigneur leur a confiée, et c'est pour cela qu'ils trouvèrent la monture dont le Seigneur avait besoin pour entrer à Jérusalem; les hommes et les événements étaient assujettis d'avance à Sa volonté.
Le Seigneur nous demande de Le suivre, mais II ne nous dit pas d'avance sur quel chemin. IL ATTEND SEULEMENT NOTRE OBEISSANCE ET NOTRE CONFIANCE. Nous sommes prévenus qu'il y aura des difficultés et des obstacles de toutes sortes, que le Seigneur laisse subsister dans la mesure où ils servent à fortifier notre foi et à magnifier Sa fidélité.
A Jérusalem, le mal et les méchants semblaient triompher, toute la ville était remuée, mais cela devait être un triomphe de courte durée. Le Roi qui devait entrer dans la ville, être rejeté et crucifié, devait aussi ressusciter, et le triomphe final allait appartenir à Dieu. Le Seigneur laisse subsister les difficultés et l'opposition pour que Ses enfants, qu'Il appelle à Son service, expérimentent que Dieu incline les coeurs dans la mesure de leur obéissance. Il écarte ceux qui résistent et fait à Ses disciples cette grande grâce de voir Ses promesses s'accomplir comme Il le leur dit.
Une foi qui n'est pas mise à l'épreuve n'a pas de racines profondes; l'épreuve de la foi est le secret de sa force et de son triomphe. La foi véritable ne vient pas de nous-mêmes, elle vient de la Parole de Dieu (Romains 10:17).
C'est la conviction et la certitude inébranlables que ce que Dieu a dit, Il l'accomplit.
Quand Il nous confie un service, nous ne sommes pas limités à nos propres ressources, mais en nous appuyant uniquement sur ce qu'Il a dit dans Sa Parole et en y obéissant, nous trouvons les choses comme Il nous l'a dit, et nous entrons dans les oeuvres qu'Il a préparées d'avance pour que nous y marchions.
par H.E. Alexander
Tiré de « Manne du Matin de H.E. Alexander »
« Qui enverrai-je et qui marchera pour nous? – – Me voici, répondis-je, envoie- moi. »
Esaïe 6 : 28.
Dieu n’adressa pas d’appel direct à Isaïe. Isaïe entendit seulement Dieu demandant: « Qui enverrai-je? «
L’appel de Dieu n’est pas seulement pour quelques-uns, il s’adresse à tous. Si mes oreilles sont ce qu’elles doivent être, j’entendrai l’appel de Dieu.
« Beaucoup sont appelés, peu sont élus. »
Cela veut dire simplement que parmi les appelés, peu écoutent de manière à être élus. Les élus sont ceux qui, entrés en contact avec Dieu par Jésus-Christ, ont changé leur attitude, et dont les oreilles, débouchées, perçoivent « le murmure doux et subtil » répétant sans cesse: « Qui marchera pour nous? »
Il ne s’agit pas d’un appel direct à un individu, à qui Dieu disait : « Toi, il te faut aller! ». Dieu n’a pas du tout contraint Isaïe. Isaïe se tenait devant Dieu, il entendit l’appel, et il se rendit compte qu’il n’avait qu’un seul parti à prendre, une seule réponse à faire: « Me voici, envoie-moi. »
Débarrassez-vous de l’idée que Dieu viendra vous chercher, avec des injonctions ou des requêtes. Quand notre Seigneur appela ses disciples, il n’exerça sur eux nulle contrainte. Son appel, à la fois ardent et serein : « Suis-moi », s’adressait à des hommes en possession de tout leur sang-froid.
Si nous permettons à l’Esprit de Dieu de nous amener devant Dieu, face à face, nous entendrons, comme Isaïe, le murmure doux et subtil, et librement, sans crainte, nous dirons: « Me voici, envoie-moi. »
Oswald Chambers, extrait de «Tout pour qu’il règne»
"Parce que Je vis, vous vivrez aussi» (Jean 14 : 19).
Après avoir été ajustés à notre Chef, notre Tête Vivante, et la source de notre vie, maintenant, notre travail est de demeurer, d'absorber et de croître, nous appuyant sur Sa force, nous abreuvant de Sa vie, nous nourrissant de Lui en tant que « Pain Vivant », et en tirant toutes nos ressources de Lui dans une dépendance et une communion continuelles.
Le Saint-Esprit sera le grand Enseignant dans ce processus béni. Il prendra de ce qui est de Christ et nous le montrera, et Il nous le transmettra à travers tous les canaux et les fonctions de notre organisme spirituel.
Alors que nous nous soumettons à Lui, Il insufflera Sa propre prière de communion, dessinant sur nos cœurs des désirs et des appétits, qui sont le gage de leur propre épanouissement, nous appelant à part dans la prière silencieuse et muette et ouvrant chaque pore, organe, sens et sensibilité de notre être spirituel pour prendre de Sa vie. Comme les poumons absorbent l'oxygène de l'atmosphère, comme les sens respirent les odeurs sucrées du jardin, le cœur reçoit instinctivement et se réjouit de l'affection et l'amitié du Bien Aimé à notre côté. Ainsi, nous devenons comme un arbre planté près des ruisseaux d'eau.
AB Simpson
Source : www.connaitrechrist.net (avec autorisation)
Je n'ai JAMAIS eu de CHANCE, J'ai TOUJOURS été BÉNI
Comme un BEIGNET, BAIGNÉ dans la GRÂCE de DIEU, ENROBÉ de son AMOUR
1 Corinthiens, 15:10 - "Par la grâce de Dieu je suis ce que je suis, et sa grâce envers moi n`a pas été vaine; loin de là, j`ai travaillé plus qu`eux tous, non pas moi toutefois, mais la grâce de Dieu qui est avec moi."
Job, 10:12 - "Tu m`as accordé ta grâce avec la vie, Tu m`as conservé par tes soins et sous ta garde."
Tahina Raniraka
(avec autorisation)